mercredi 30 janvier 2008

Du côté de chez Swann, suite et fin.

je vois les choses comme ça :

Combray > nostalgie pastorale, les églises, le côté de Guermantes, le côté de Méséglise, les clochers, les fleurs, le soleil dans les fleurs, les lacs, l'obsession du baiser avant de dormir, doute sur ses dispositions à être écrivain.

Un amour de Swann > mondanités, quelques petites vérités sur l'amour, Swann, le thé, le théâtre, le "petit noyau", Paris, "la petite phrase", Odette de Crécy, le mystère de sa vie qui lui fait l'aimer.

Nom de pays : le nom > nostalgie urbaine, les Champs Elysées, l'appartement de Swann, les chapeaux, l'amour pour Gilberte, le mystère de sa vie qui lui fait l'aimer, les Swann, la bille d'agate, Bergotte, l'élégance, le Bois de Boulogne, opposition entre les yeux du corps et ceux de la mémoire, réalité/imagination.

la fin est remarquable, je vois toujours l'ultime phrase d'un livre comme un gage de qualité, un truc décisif, la seule chose qui restera d'un mois de lecture. c'est ce qui fait que nous lisons souvent la fin d'un livre, comme si la première page avait directement avoir avec la dernière alors que des dizaines de personnages et d'actions attendent d'être lus entre ces deux extrêmes.Ici la dernière phrase est indépendante du reste, c'est une phrase-proverbe, un truc qu'on pourrait trouver dans les sites de citations.

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