mardi 2 octobre 2007

Technosmose

j'adore quand le meilleur d'un livre se trouve à la dernière ligne de la dernière page.
on le lit un peu comme à rebours. le décompte commence et l'effet n'est pas répandu sur 300 pages mais bien localisé et c'est brutal. comme la fin de american history x
dans ce livre c'est comme ça un peu. tension et tout.
Le plus jouissif -en dehors des scènes érotiques dingues- c'est le plaisir qu'on prend à comprendre comment Isis a réussit à s'échapper de prison. d'abord on comprend que partiellement puis comme c'est un peu chaud de pas saisir tout à fait un livre acheté 15€, on accepte de retourner un peu en arrière pour tenter de comprendre et puis quand tout s'éclaircit, quand tout devient limpide, tu jouies comme un fou.

je l'ai fini ce matin, debout dans le métro, j'en ai eu la chair de poule et un peu le vertige.
A chaque fois je dis "ouais c'est le meilleur livre du monde", mais là c'est vrai, c'est le meilleur livre du monde.
Je vous dis ça avant que Mathieu Terence gagne le Prix de Flore, comme ça je pourrais me la péter et dire "je vous avais prévenu".

j'ai trop envie de sortir avec lui putain.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

bonjour

y'a de la place pour des candidats à l'écriturr, sur ce blog?

(murielle, j'ai rien capté à ton lien messenger...c'est une sorte de youtube 2, non?)

Murielle Joudet a dit…

suffit de demander,
file mon ton mail, je le retrouve plus sur msn et je t'enverrai une invitation pour écrire dessus.

(mon lien messenger? comment ça?)

Les Occupés sont